On entend de plus en plus parler de zéro résidus de pesticides sans vraiment saisir l’importance de ce label ni comment l’appliquer dans le monde de l’agriculture. L’agriculture conventionnelle est connue pour ses divers inconvénients. Même si elle accroît la productivité, elle reste tout de même une menace pour l’environnement. Mais comment fonctionne ce label et celui du CSP ?
Label zéro résidu de pesticides à la différence du CSP
Les pesticides sont des produits destinés à protéger les cultures contre les insectes et les nuisibles mais aussi les champignons et les mauvaises herbes. Mais on retrouve parmi les pesticides des fongicides, des insecticides et des parasiticides. Les pesticides sont tout de même à base de composants chimiques qui polluent le sol mais qui sont aussi à l’origine des maladies majeures des consommateurs. Face à un tel danger, de nombreux organismes et gouvernements mondiaux ont décidé de lancer deux labels notamment le ZRP et le CSP. Ces labels intègrent la filière agroécologiques permettant à la fois de préserver l’environnement et offrir des produits sains aux consommateurs. Il existe une légère nuance entre les deux appellations. Les zéro résidus de pesticides autorisent toujours l’usage des pesticides mais sous certaines conditions. Il faudrait en effet que la teneur soit à 0,00001 grammes par kilo lors de la commercialisation. Il s’agit d’une faible quantité mesurable à l’heure actuelle. Respecter cette restriction est indispensable pour deux finalités : réduire l’empreinte écologique et préserver la santé des consommateurs. Les CSP ou Cultivés Sans Pesticides signifie que les légumes et fruits sont « cultivés sans traitements pesticides de synthèse de la fleur à l’assiette ». Ainsi, les traitements pesticides sont autorisés alors sur les plants, juste avant la floraison. Il est possible également d’appliquer des pesticides naturels après les traitements.
Une alternative au bio et à l’agriculture conventionnelle
On fait référence à la troisième voie de l’agriculture. Pour rappel, l’agriculture conventionnelle utilise des pesticides sans restrictions, l’agriculture bio n’autorise aucune intervention de produits chimiques dans tous les processus de cultures et de productions. Enfin, les deux labels sont considérés comme la réponse aux problématiques des deux modes de culture. On autorise alors l’usage des pesticides naturels mais avec quelques restrictions. Ces labels sont reconnaissables sur les étiquettes vertes des aliments tels que les céréales, les jus et fruits, les vins ainsi que les fruits et légumes frais. La culture des aliments sans pesticides et sans produits chimiques est une promesse de produits de qualité et sains. Cependant, les agriculteurs doivent respecter certaines réglementations notamment les cahiers de charge lors de la production. Ils doivent prendre en considération les pesticides et autres substances activités présentes dans la liste rouge et la liste noire. Cette réglementation est réellement stricte. Si un producteur utilise alors un pesticide dans la liste noire, sa parcelle perdra sa labellisation.
Medinbio : aux services de l’agroécologique
La filière agroécologiques représente un solution pour la mise en marche du développement durable dans le secteur agricole. Pour aider la mise en œuvre des solutions permettant d’améliorer la production tout en préservant l’environnement, Medinbio propose son expertise. Il s’agit d’un acteur principal de la création de filière agroécologique et qui accompagne les agriculteurs et producteurs dans la recherche d’une meilleure solution face à la situation environnementale actuelle. L’entreprise crée 12 filières en France et à l’étranger. Elle assure la démarche notamment le suivi d’une méthode, la suggestion sur les plans de travail et les arbitrages. Medinbio réalise d’abord un audit sur le choix de la filière adaptée à vos besoins. Ensuite, il procède à des recherches, dresse un plan expérimental, assure les suivis d’essais et réalise un bilan final.
Bel article, je l’ai partagé avec mes amis.